Albin

Procès ayant opposé Albin au Duché de Touraine

30 Août 1462

Procureur : Enjoy Corleone (Enjoy)

Juge : Maximilian de la Louveterie (Maximilian..)

Albin était accusé de trouble à l'ordre public.

En ce trentième jour du mois d'Aout de l'an 1462, nous, Enjoy Corleone, Bourgmestre de Chinon ouvrons un procès contre un dénommé Albin, pour nous c'est juste un type qui a le charisme d'une huître morte en plein soleil mais si tel est son nom, au motif de trouble à l'ordre public.

La nuit du 28 au 29 aout 1462 la mairie de chinon a été illégalement attaquée par un groupe d'individus, nos principaux suspects sont des Chinonais consanguins, y en a pléthores.
Cet homm...cette chose que nous avons devant nous n'a pas été vue lors de la prise de la mairie, ni nulle part d'ailleurs, néanmoins dans la nuit du 28 au 29 aout alors que les habitants, de chinon, de malhonnêtes tourangeaux dégénérés, ont essayé de prendre illégalement la mairie, cet inconnu se trouvait dans les rues de la cité. Il a donc participé à cette ignominie.


Si nous relions les faits par un raisonnement voisin de la procureur, il est évident que ce futur coupable à bel et bien participé à la tentative de prise de mairie.


Les révoltes et prises illégales de mairie sont qualifiées de crimes dans le coutumier.

Les éléments de l'enquête tendent à prouver la culpabilité de l'accusé toutefois ses droits doivent être respectés, et comme jusqu'au verdict final la présomption de culpabilité est de rigueur l'accusé dispose du droit de se défendre en faisant appel à un avocat et à des témoins même si ceci ne servira strictement à rien. Je rappelle que selon un chapitre que personne ne lira de notre coutumier, à l'article...etc. 'La fuite ou la tentative de fuite constituent un délit; un aveu, ou une circonstance aggravante.'

*Albin se retrouvait au tribunal et riait à la mise en accusation dont il faisait preuve comme quoi les brigands peuvent raconter n'importe quoi*

Bonjour ou pas vu les individus que j'ai en face de moi dont mon accusatrice qui se trouve être quelqu'un de peu fréquentable.
Dans tous les cas vous m'avez bien fait rire vous avez au moins se mérite là.
Soit je passerais sur les insultes mais j'attends les preuves comme quoi j'étais dans les rues.
Prouvez le!
Ah mais non vous ne pouvez pas car j'étais à Tours.
La seule chose dont je peux plaider coupable c'est d'être parti de Chinon la nuit où vous avez prit cette mairie.
Par ailleurs vous dites que je n'ai pas été vu en train de se révolter contre vous mais vous dites par la suite que j'ai participer donc contraction.

Bon ensuite comme vous m'avez bien fait rire, est ce que derrière un rideau il va se trouver une personne que j'ai tant aimé et sorti de ma vie et qui souhaite me revoir? Tant qu'à être bête et méchant comme vous autant jouer les idiots jusqu'au bout. D'une bataille vous finirez la tête dans une fontaine.

Bon les Corleones c'est pas tout mais certains ont un vrai métier et consommer mon mariage et concevoir un enfant avec mon épouse chose que vous ne pouvez pas vu que vos mâles sont dépourvus de bourse.

Bien merci de m'avoir écouté..

Le gueux !

Nous te sommons de faire preuve de respect en nos terres !

Tu viens toi-même de rire de la justice Tourangelle par ce procédé. Puisque nous ne répercutons que l'énoncé des procès iniques dont ta procureur et ses sbires intentent envers sa population. Finalement, tu es bien plus de notre côté que tu ne le penses, bien que penser pour toi, est un terme quelque peu galvaudé. Médire des actes d'accusation, te gausser de l'autorité, ainsi que bien d'autres choses...

*Un large sourire goguenard s'affiche sur les lèvres de l'italienne*

Comme quoi, en voulant nous railler, tu te ridiculises toi-même et tu enfonces ton propre duché. Rends-toi donc au tribunal ouïr les autres procès en cours...

Nous te condamnons aux geôles, hum non, mieux ! Aux galères ! Ainsi que tes amantes ! Quant aux bourses de nos mâles, elles semblent bien plus remplies que les tiennes.

*Albin prenait note des mots, tout resterait dans son esprit et ça pour mémoire quand il veut il en a une comme un éléphant. Il tenta de répondre sans s'énerver toute façon procès ridicule autant être ridicule. Il avait adressé un sourire à son épouse qui ne semblait pas comprendre que les brigands étaient les accusateurs mais après tout normal vu qu'elle est niaise, cette niaiserie et innocence qui fait une grande partie de son charme à la poney rose. Cette même innocence qui avait su faire chavirer et capturer le coeur d'Albin.
Reportant son attention sur l'usurpatrice*

Je vais reprendre vos paroles une par une.

1. Justice Tourangelle dont je ris : non je ris de vous, de ce dont vous m'accusez sans preuve, de votre folie, d'avoir dit m'avoir vu dans les rues d'accord et mon nom vous l'avez eu comment alors? On prend quelqu'un que l'on voit dans une rue comme ça? C'est ce que vous appelez la justice? Vous dénoncez une justice qui ne vous convient pas en faisant une rafle pour ensuite traîner en procès des gens qui n'ont rien demandé? Ce n'est pas rendre justice que cela

2. Ma procureur ensuite. Je suis Chinonais que depuis quelques jours je n'a pas voté pour se conseil je n'ai pas choisis les gens mais Morgannen est quelqu'un que je connais un peu, qui a été tout comme moi résidente de Limoges, qui a été ambassadrice limousine et moi ambassadeur mais à la même période, nous avons travaillés ensemble mais c'est tout. Et ce n'est pas "Ma" procureur puisqu'elle ne m'appartient pas ce n'est pas un objet et ce n'est pas mon épouse puisque mon épouse est celle qui a témoigné en première.

3. Procès envers sa population : vous n'êtes pas du duché à ce que je sache. Et si procès il y a et que preuve apportés des culpabilités alors je ne vois pas où est le mal de mettre sa population en procès. Tout méfait mérite sanction, tout comme à notre mort où le Très Haut nous juge si on mérite de rejoindre le paradis solaire.

4. Médire des actes d'accusations : c'est surtout de votre acte.

5. Condamnez moi si vous le souhaitez à ma mort la justice divine reprendra son droit.

*Marylune n'y comprenait pas grand chose. Elle avait cligné des yeux à trois reprises, signe que ça ne faisait pas de sens. Enfin, c'était son tour. La baronne s'exprima alors.*

Hum... Et bien Albin est mon époux et il est venu à Chinon pour me rejoindre. Jusque là, il avait une excellente raison de se trouver ici. Je ne pense pas que vous pouvez vous baser sur le hasard pour mettre en procès quelqu'un. Albin n'aurait d'ailleurs jamais fait une chose pareille; il n'a rien d'un brigand et il n'a aucun intérêt à prendre l'argent d'une mairie vu la fortune qu'il possède déjà. Je suis convaincue qu'il s'agit d'une pauvre coïncidence.

J'espère que vous saurez baser le verdict sur des faits plutôt que sur, si j'ai bien compris, des rancunes personnelles.

Sinon... Vous avez des questions concrètes sur mon époux ou bien dois-je vous faire sa biographie?

*Et la blonde Prévôt d'arriver à son tour à la barre.. Elle allait voir Maximilian en action dans le cadre juridique, ainsi que Morganenn. Posant ses parchemins sur une table à côté d'elle, éclaircissement de la voix...* Hum..

Messire Juge, Dame Procureur,

J'ai bien entendu l'acte d'accusation qui a été prononcé à l'encontre de Messire Albin d'Ar Sparfel. Je vais être claire, nette et précise. L'accusation est fausse. Dans la nuit du 28e au 29e jour du mois d'Août de l'an de Grasce 1462, l'accusé ici présent se trouvait encore à Tours. Il a été aperçu en taverne le soir du 28 en présence de plusieurs personnes jusque bien après les complies.
Il ne peut donc aucunement être à Chinon avant ou après matines.

*La jeune Orsenac se retira ensuite adressant un magnifique sourire à son beau Juge*

*Un sourire à sa blonde qui venait de parler avec justesse. Puis il reprit son serieux. Et la parole *

Il y a des procès qui n'ont pas lieu d'etre. Celui ci, ainsi que tous ceux lancés par la pseudo mairesse Enjoy Corleone en font partis.

Madame Corleone, en tant que mairesse revoltée, vous n'avez aucun droit de mettre en procès d’honnêtes citoyens de notre bon duché. Meme si vous aviez mille preuves, ces procès seraient bouclés de la meme facon.

En consequence de quoi En ce jour 22 septembre du mois de Septembre 1462 , Moi Maximilian de la Louveterie, Juge de Touraine, de par les pouvoirs que m'a conféré Sa Grasce Aemilia , rends le verdict suivant :
Je relaxe bien évidemment Sieur Albin .

Aucun mention de ce procès ne sera mis dans son dossier judiciaire et a faire paraitre officiellement une annonce permettant egalement de laver l'honneur de nos courageux Tourangeaux.

Sieur Albin, vous etes rendu libre. Nous esperons que ce sejour en ces murs n'a pas été trop dur.

Justice a été rendue.

*Un bon coup de maillet, affaire suivante*

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